Les dangers de la démocratisation des «private markets»

Dans cet article du 14 octobre 2021 publié dans le Financial Times, Elif Aktuğ, associée, se penche sur la démocratisation en cours des private markets en général et du private equity en particulier.
Pour ceux qui ont besoin de liquidités et peu d'épargne, leur proposer d’investir dans cette classe d’actifs serait tout simplement un mauvais conseil.
— Elif Aktuğ Associée du groupe Pictet

Il est inévitable que cette tendance se poursuive et, si elle est bien gérée, elle devrait être positive puisqu’elle permettra aux investisseurs de diversifier davantage leurs portefeuilles et - potentiellement - de générer de meilleurs rendements.

Cependant, l’ouverture de la classe d’actifs à des cercles plus larges d’investisseurs comporte également des risques et Elif Aktuğ en examine l’impact sur les valorisations, le cycle d’investissement actuel et l’importance de s’appuyer sur un conseiller de confiance lors de la recherche d’actifs investissables.

Article rédigé par Elif Aktuğ et publié dans le Financial Times du jeudi 14 octobre 2021.

Confirm your selection
En cliquant sur "Continuer", vous acceptez d'être redirigé vers le site web local que vous avez sélectionné pour connaître les services disponibles dans votre région. Veuillez consulter les mentions légales pour connaître les exigences légales locales détaillées applicables à votre pays. Vous pouvez également poursuivre votre visite en cliquant sur le bouton "Annuler".